AYEZ LE COURAGE DE DIRE NON A L'ISLAM

Publié le par shlomo

 

Cher Iraniens : Ayez le courage de dire non à l’Islam

dimanche 27 janvier 2008, par Annie Lessard


Il y a près de 1400 ans, des nomades sortis du désert torride de l’Arabie ont conquis la Perse (Iran), le plus grand empire connu de l’histoire de l’humanité. Ils ont injecté leur virus islamique dans les veines de leur victime : le peuple iranien. N’est-il pas temps pour tous les Iraniens, en signe de solidarité, de se tenir main dans la main avec les peuple civilisés du monde libre pour vaincre cette maladie virulente qu’est l’islam ? – Amil Imani

Dans une lettre affichée sur son site, l’iranien Amil Imani invite ses compatriotes à dire NON à l’islam, et OUI à la liberté. Il leur rappelle leur riche patrimoine de l’ère pré-islamique imprégné du zoroastrisme qui proclamait l’importance des principes de liberté, de justice, de respect de la diversité et de tolérance religieuse, et les invite à renouer avec ce passé. Il évoque Cyrus le Grand, dont les principes de gouvernement et de droit ont été gravés sur un cylindre découvert en 1879 à Babylone. Ce texte est parfois considéré comme le premier texte connu traitant des droits de l’homme. En 1971, l’ONU l’a traduit dans toutes ses langues officielles.

À la suite de la lettre de Imani, nous reproduisons des extraits tirés de wikipedia portant sur les Principes de droit et de liberté dans l’histoire de l’Iran sous le règne de Cyrus le Grand, père de l’Iran.

Lettre de Amil Imani à ses compatriotes iraniens, le 21 janvier 2008

Dans la plupart des autres terres conquises par l’Islam, les peuples conquis ont perdu leur identité et leur patrimoine et embrassé les coutumes de leurs nouveaux dirigeants, sous une identité « arabe ». Inversement, en Iran, un groupe de victimes autochtones « infectées » par l’islam se sont stupidement retournées contre leurs compatriotes iraniens et ont tenté de les dépouiller du reste de leur patrimoine ancien. C’est exactement cette minorité sauvage qui a créé un état d’oppression tyrannique et qui exerce le pouvoir contre le peuple iranien. Pourtant, même sous le règne de l’islamofascisme, l’écrasante majorité des Iraniens de diverses ethnies et religions restent fidèles à leurs anciennes croyances - une croyance qui a été donnée au monde par Zoroastre.

Le XXIe siècle présente de grands défis et possibilités qui exigent de nouvelles façons de penser et d’agir. La doctrine de l’islam a peut-être été appropriée pour les habitants du désert de l’Arabie il y a quelque 1400 ans, pour les personnes stigmatisées, selon la littérature islamique, comme les « Jahil » (ignorants). Mais cette doctrine est dysfonctionnelle aujourd’hui, pour dire le moins. En fait, l’islam s’est égaré dès le début et a infligé de grandes souffrances tant à ses adeptes qu’à ceux qui ont résisté à ses avancées.

Toutes les réalisations pré-islamiques qui pourraient renforcer l’attrait de la part de la population iranienne sont banalisées, et parfois même faussement attribuées à l’Islam, pour empêcher l’Iranien moyen et le monde entier de découvrir les vérités historiques au sujet de la destruction et de l’arriération que l’islam a apporté à la région. L’islam continue de prendre le crédit pour les arts et les sciences produites par les peuples qu’il a conquis - et ils étaient pour la plupart des Iraniens, des Égyptiens, des Syriens, des Mésopotamiens, et des Babyloniens.

Gardez à l’esprit que les islamistes observent leur charte d’Allah vieille de 1 400 ans - le Coran - la même charte qu’ils tenaient d’une main tout en tranchant les gorges de millions d’Iraniens innocents en criant joyeusement pendant tout ce temps « Allah est le plus grand ».

Cher Iraniens, je suis obligé d’écrire cette lettre aujourd’hui et les mots ruissellent à travers moi sans aucune esquisse ou idée préconçue. Je parle de cela aujourd’hui, en partie parce que le moment est venu, en partie parce qu’il est bon de savoir ce que l’islam a fait pour notre précieuse culture. Certaines choses n’avaient pas à tourner comme elles l’ont fait. La vérité et des idées provocatrices doivent être bien accueillies par nous tous. « Un esclave est celui qui ne peut exprimer sa pensée » a dit Euripide. Pourtant, les idées provocatrices ne peuvent suffire en elles-mêmes. Des mesures sont nécessaires pour corriger les erreurs passées, et cela commence avec vous.

Cher Iraniens, aussi longtemps que vous resterez « musulman » (puisque vous l’êtes par défaut et non par choix), vous resterez réduits à l’esclavage par une religion et une culture étrangères violentes. Vous êtes incapables de penser par vous-mêmes et de vous libérer. Tant que vous restez musulmans, vous ne pouvez pas être appelés Iraniens. Être Iranien est défini par un état d’esprit, et non par un lieu de résidence, votre langue, votre dialecte, ou même votre constitution génétique ou votre race. Les mollahs islamistes barbares et leurs mercenaires actuellement au pouvoir en Iran ne sont d’aucune manière Iraniens, sauf en vertu d’une carte d’identité. Ils sont des islamofascistes qui ont trahi leur magnifique héritage et se sont mis eux-mêmes au service de la plus oppressante et humiliante des idéologies, l’islam.

La désintoxication de l’islam doit commencer par vous. C’est vous qui devrez porter l’étendard de la liberté, défiler dans les rues et défendre vos ancêtres qui ont été sauvagement assassinés par les mains des envahisseurs arabes et vous ont forcé de devenir comme eux.

N’oubliez pas, la vie est précieuse. Elle doit être protégée, entretenue et célébrée. L’humanité avance, peut-être à un rythme de glacier, vers la réconciliation, l’inclusion grandissante sans qu’aucun groupe ou idéologie s’impose aux autres. Toute tentative contre cette tendance à l’unité dans la diversité est vouée à l’échec, comme en témoigne la chute du fascisme et du communisme. La charte de l’islam, le Coran, prêche la discrimination, la mort et l’imposition de son dogme à tous. L’Islam, tout comme le fascisme et le communisme, est une idéologie dysfonctionnelle qui doit être abandonnée.

L’humanité a évolué considérablement depuis l’époque de Mahomet. Afin de poursuivre sa marche en avant, l’humanité doit suivre une feuille de route adaptée à son âge et à son état de développement. Il est insensé d’exiger d’un livre, qui requiert le terrorisme et a été écrit il y a plus de 1400 ans, qu’il serve comme le seul et unique guide pour l’humanité.

N’oublions pas que les Arabes qui sont sortis des déserts de l’Arabie n’ont pas salué le monde extérieur avec le Coran dans une main et des fleurs dans l’autre, prêchant l’amour et la paix de coin de rue à coin de rue, dans le but de conquérir les coeurs et les esprits du peuple. L’islam a été imposé de force sur chaque culture qu’il a rencontrée à la pointe de l’épée. L’alternative plus douce était la mort ou l’imposition de l’écrasante « jizyah » (poll tax) prélevée sur ceux qui ont été épargnés par l’épée et ont été autorisés à conserver leurs croyances religieuses comme « infidèles ». En dépit de la lourde charge à payer pour la jizyah, les non-musulmans ont été systématiquement traités, au mieux, comme des citoyens de seconde classe dans leur propre pays à travers le Moyen-Orient.

L’Iran est notre chère patrie. Elle mérite l’amour et le respect de tous ses enfants. L’Iran n’est pas un pays du mal, même si actuellement il est sous son joug. Les Perses prennent souvent ombrage d’être confondus avec les Arabes. Des auteurs comme Robert Kaplan et V. S. Naipaul ont documenté l’antipathie des Persans envers les Arabes, tout en épousant la religion arabe avec enthousiasme.

Cher Iraniens, vous avez un dilemme. Vous avez besoin de vous réconcilier avec vous-mêmes. Vous êtes soit les enfants de Cyrus le Grand, qui a été le père fondateur de l’Iran et qui symbolise la justice et le respect de la diversité, ou vous pouvez prétendre être les descendants d’un homme qui n’était pas un prophète exemplaire. En d’autres termes, vous êtes soit un « Seyyed » (une farce risible), qui est un autre mot pour un « seigneur » arabe, ou bien vous êtes un magnifique Iranien qui croit en les nobles principes des bonnes paroles, des bonnes pensées et des bonnes actions. Vous ne pouvez pas être les deux. Il est temps de se réconcilier. Le choix vous appartient.

Mon aspiration pour ma patrie, c’est de la voir libérée du mal qui lui a été infligé depuis que notre peuple a accepté une version des plus dépravées de l’islam. Que les gens deviennent baha’is ou chrétiens ou zoroastriens, ça devrait être un libre choix de chaque personne. Même si une personne insiste pour rester musulman, c’est sa prérogative. Pourtant, imposer l’étouffant islam intolérant sur toute une nation est quelque chose que ni moi, ni aucune personne libre, ne peut accepter. Notre Iran bien-aimé mérite d’être un pays où, à nouveau, nous sommes fiers d’être ses enfants, au lieu du présent où nous faisons souvent tout notre possible pour dissimuler notre pays de naissance lors de visites à l’étranger.

Ceux d’entre vous qui sont encore piégés dans le culte de Mahomet du 7e siècle sont victimes du virus islamique qui a détruit en vous le traditionnel respect de la diversité. L’Iran est aujourd’hui un pays dont les habitants abandonnent l’islam le plus rapidement à mesure qu’ils apprennent la vérité à son sujet. C’est la croyance iranienne ancienne et fondamentale en la validité et la valeur de la diversité qui a tenu la nation unie au cours des millénaires.

L’islam, avec ses dogmes barbares et primitifs d’exclusion provenant des Bédouins arabes, s’est emparé de l’Iran et a brutalement cherché à remplacer la traditionnelle et noble croyance iranienne dans les droits de l’homme et la diversité. Malheureusement, la subjugation forcée des Iraniens a réussi dans une certaine mesure à transmettre le virus psychosocial islamique à de nombreux Iraniens, ce virus qui transforme la personne en un bigot qui ne voit que sa voie et sa conviction comme étant le droit chemin et le seul mandat juste. Tous les gens qui ne voient pas les choses de « sa » manière sont égarés et doivent être réformés par quelque moyen que ce soit, y compris l’élimination, si le bigot le juge opportun.

Les divers peuples qui donnent à l’Iran sa force durable incluent les Perses, les Azaris, les Kurdes, les Baloutches, les Turkmènes, et plus encore. Tous et chacun ont leur allégeance à l’Iran comme une idée et une nation et tous ont façonné l’Iran en une nation unifiée. Les Iraniens sont les enfants spirituels de Cyrus le Grand et les adhérents à sa Charte - la première Charte des droits de l’homme - qui proclame clairement l’égalité en droits et en valeur des croyances et des pratiques de tous les peuples.

Les Iraniens ont honte de l’apparition d’Ahmadinejad, « le singe », sur la scène internationale et de son intention déclarée de réduire à néant la patrie juive de la surface de la terre. Ahmadinejad n’est pas un Iranien. Il suffit de regarder les nombreuses photos le montrant porter fièrement le foulard arabe autour du cou - un foulard palestinien qui représente actuellement un symbole de la campagne arabo-islamique de haine génocidaire contre les « non-croyants » de tous bords. Un coup d’œil rapide sur sa volonté de brader des droits territoriaux et politiques de l’Iran est un autre témoignage de sa nature non iranienne.

Cet Ahmadinejad éhonté et ses acolytes, les mollahs criminels, sont des personnifications et des agents du « mal » Ahriman. Rien n’est au-delà de leurs intentions malfaisantes. Se maintenir au pouvoir en dévastant notre terre, notre patrimoine et notre peuple est un petit prix qu’ils sont plus qu’heureux de payer. La honte, la honte éternelle sur eux. L’Iran s’élèvera à nouveau. Elle émergera de ses cendres. Je suis certain de cela.

Nous reconnaissons que le «  logiciel » islamique dysfonctionnel est profondément ancré dans l’esprit de ses victimes qui choisissent de rester dans la servitude mentale plutôt que de purger leur esprit du « plan islamique » de destruction, et de s’associer au reste de la famille humaine, avec un nouveau programme qui émancipe vers la vie - celui de la liberté et du progrès. Cependant, vous devez éviter toute propagande islamique et rejoindre les forces de la liberté pour vous libérer de ce sombre et exotique culte de la mort. Pendant 1300 années, les islamistes vous ont contraint de choisir et de célébrer la mort plutôt que la vie, de pleurer au lieu de rire et d’être en deuil au lieu de danser. Le joyau de la couronne de l’islam ne va tout simplement pas aux Perses. Il ne leur a jamais fait, et il ne leur fera jamais.

Gardez à l’esprit que l’islam hait la puissance de l’individu. L’islam déteste les réalisations des femmes. L’islam déteste le progrès. L’islam hait la liberté religieuse des autres. L’islam déteste l’héritage pré-islamique de l’Iran et d’autres nations. L’islam hait la lumière de la vérité. L’islam est contre le libre arbitre et hait la démocratie, la liberté et la justice pour tous. L’islam aime simplement vous écraser et vous dévorer vivant. C’est ce que l’islam fait, et c’est ce que l’Islam est. Allez-vous lui vouer un culte ? Dites NON, car vous n’êtes pas un robot, vous êtes un être humain.

Maintenant, «  Louée soit l’essence de la bonté » qui nous lie tous ensemble comme des amoureux dévoués à notre patrimoine ancien de respect de la diversité. Notre patrie saigne sous les capes sombres de l’oppression des mollahs. Pourtant, notre peuple surmontera le poison qui court dans ses veines et choisira de se détourner de la doctrine de la mort et de la destruction pour, espérons-le, poursuivre la vie et la construction. Vous tous détenez la clé et la promesse de renouveau de notre patrie et de son entière libération du joug de siècles du règne barbare de l’islam et de sa charia.

La lumière de la liberté doit être préservée pour l’humanité. Pour sauver leur patrie, tous les Iraniens doivent s’unir et simplement DIRE NON à l’islam et DIRE OUI à la liberté.

Source : Dear Iranians : Have the Courage to Say No to Islam, par Amil Imani, le 21 janvier 2008

Principes de droit et de liberté dans l’histoire de l’Iran

Dès son couronnement faisant suite à la conquête de Babylone en -539, Cyrus le Grand édicte des principes de gouvernement et de droit. Il fait graver ces principes sur un cylindre découvert en 1879. Ce document, parfois considéré comme le premier texte connu traitant des droits de l’homme, décrit une vision politique altruiste de la société de cette époque :

• Le texte établit le consentement des sujets à la souveraineté, et la résolution pacifique des conflits.

• Il interdit l’esclavage et le travail forcé, reconnaît le droit au salaire, le droit au travail, et à la propriété.

• Il garantit la liberté de religion et de conversion, de circulation, et le respect des traditions et coutumes.

• Il introduit le principe de la responsabilité individuelle de la faute.

• Il consacre le respect des droits édictés, la lutte contre l’oppression, et affirme le droit à la vie.

Du fait de l’interdiction de l’esclavage, tous les palais des rois perses ont été construits par des ouvriers libres à une époque où les esclaves réalisaient généralement les grands travaux. De même, l’armée perse est une armée de conscription et de mercenaires.

La même année, Cyrus promulgue un décret qui autorise le retour des juifs à la terre promise ; tout en les aidant matériellement et financièrement. Les livres bibliques des Chroniques et d’Esdras mentionnent ces réformes de Cyrus.

Cylindre de Cyrus préservé au Musée de Londres

Source : wikipedia

Publié dans ISLAM

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