SALON DU LIVRE : RENDEZ-VOUS AVEC RICHARD SITBON
Richard Sitbon sera présent au salon du livre ce dimanche, le 16 Mars, à partir de 14H30.
Il vous dédicacera son livre "Un mur de certitude".
Il se trouvera au stand L40 des éditions "le manuscrit".
QUI EST RICHARD SITBON ?
Richard Sitbon, né a Paris en 1961, diplômé de l'université Paris - Sorbonne en Sciences Economiques. Détenteur d'un diplôme de troisième cycle en banque finances, réalise son départ en Israël en 1987 après avoir occupé le poste de secrétaire général du Mouvement de l'Alyah de France. Economiste à l'Institut National des Statistiques Israélien jusqu'en 1995. Actuellement Directeur au ministère du Trésor Israélien, attaché a la lutte contre le blanchiment d'argent. Auteur d'articles économiques et d'opinions pour l'Edition Française du Jérusalem Post; et le journal Hamodia Edition Francaise
Un Mur de certitude
Présentation :
Michel, Clara et leur fils Nathanael sont juifs. Ils détiennent depuis plus de vingt ans une serre conquise sur le désert dans la région de Goush Katif. Témoins directs du violent conflit qui oppose les armées de Tsa'hal et les troupes Palestiniennes, le couple assiste à la mise en place du plan d'évacuation de la bande de Gaza. A la recherche d'une solution pacifique, ils multiplient manifestations publiques, appels au gouvernement, prières et entraides. Impuissants et résignés, ils doivent cependant renoncer à leur terre lorsqu'Israël fait évacuer de force les populations juives.
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Citation :
Cours, tu dois courir pour rejoindre cette mer, dont tu ne vois jamais les vagues, que tu n'entends pas depuis ton village pourtant si proche. Elle est lié pourtant tu le sais, qui t'ouvre les bras. Mais pour toi c'est ton tombeau. Ahmad courait, aussi vite que ses jambes de dix ans pouvaient le porter. Depuis que l'autonomie avait été accordée à son peuple à Gaza, le monde des enfants avait basculé. Il était né avec les accords de paix le petit Ahmad, et pourtant il n'avait connu que le bruit des balles et des bombes.
PRESENTATION DE L'OUVRAGE : UN MUR DE CERTITUDE
par Raphael Aouate
Le cri strident que personne n’entend
IN AROUTS7
Penser les mots pour panser les maux.
Michel, Clara et leur fils Nathanaël possèdent une parcelle de nature, si tant est que cela puisse être possible. Cette famille possède également le destin si souvent promis au peuple juif : apporter la vie là où elle se faisait rare, en l’occurrence, au milieu de nulle part ou presque, c'est-à-dire dans ce Goush Katif perdu.
Le monde perdu, que décrit Richard Sitbon, c’est un univers qui s’écroule, à l’image des pierres sacrées de ces maisons détruites, de ces synagogues brûlées dans ce qui fut un petit coin de paradis, non loin de l’enfer de Gaza.
Le monde perdu de ces expulsés n’est pas ce monde perdu des espagnols chassés de Castille ou de Cordoue pendant l’Inquisition. Ce monde perdu n’est pas celui des ces juifs européens quittant la civilisation pour la barbarie nazie. Ce monde perdu, c’est juste celui de milliers d’hommes et de femmes assez fous pour avoir voulu habiter, nourri, épanoui une terre sainte et si proche, une terre promise depuis 2000 ans qu’enfin ils obtiendraient, qu’enfin ils chériraient, qu’enfin ils pleureraient.
Des juifs chassés de leur terre, au 21 ème siècle. Cela aurait été, dans les pires cauchemars, le programme d’un mauvais film de science fiction. Non, voyons, pas en 2005, pas sur notre terre ! Et bien si, Israël est le pays des miracles et Israël est le pays de l’improbable comme de l’impensable. Ce qui dépasse l’imagination est possible. Les frontières du possible, en même temps que les frontières physiques peuvent être repoussées.
Ce récit d’une évacuation, vécue à travers une famille d’origine francophone, sera présenté au prochain Salon du Livre de Paris, à l’heure ou la haine anti sioniste ou antisémite, on ne sait plus, se déchaîne. A l’heure ou des citoyens israéliens sont menacés sur leur propre territoire par des ennemis habitant ce même territoire. A l’heure où le monde arabe, dans sa grande majorité, refuse aussi le droit d’Israël à écrire et à faire de la littérature, lui le peuple du Livre. A l’heure donc ou des menaces de boycott de ce Salon du Livre fusent. "Nous n’accueillons pas Israël mais la littérature israélienne", affirmait l’un des organisateurs, comme pour se justifier.
En attendant, mêmes les mots nous sont refusés. Est-ce là le destin insondable et si troublant du Peuple juif ?
Ils ont des yeux et ne voient pas, des oreilles et n’entendent pas …". Et si le Psaume parlait de nous, tout simplement ?
Il vous dédicacera son livre "Un mur de certitude".
Il se trouvera au stand L40 des éditions "le manuscrit".
QUI EST RICHARD SITBON ?
Richard Sitbon, né a Paris en 1961, diplômé de l'université Paris - Sorbonne en Sciences Economiques. Détenteur d'un diplôme de troisième cycle en banque finances, réalise son départ en Israël en 1987 après avoir occupé le poste de secrétaire général du Mouvement de l'Alyah de France. Economiste à l'Institut National des Statistiques Israélien jusqu'en 1995. Actuellement Directeur au ministère du Trésor Israélien, attaché a la lutte contre le blanchiment d'argent. Auteur d'articles économiques et d'opinions pour l'Edition Française du Jérusalem Post; et le journal Hamodia Edition Francaise
Un Mur de certitude
Présentation :
Michel, Clara et leur fils Nathanael sont juifs. Ils détiennent depuis plus de vingt ans une serre conquise sur le désert dans la région de Goush Katif. Témoins directs du violent conflit qui oppose les armées de Tsa'hal et les troupes Palestiniennes, le couple assiste à la mise en place du plan d'évacuation de la bande de Gaza. A la recherche d'une solution pacifique, ils multiplient manifestations publiques, appels au gouvernement, prières et entraides. Impuissants et résignés, ils doivent cependant renoncer à leur terre lorsqu'Israël fait évacuer de force les populations juives.
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Citation :
Cours, tu dois courir pour rejoindre cette mer, dont tu ne vois jamais les vagues, que tu n'entends pas depuis ton village pourtant si proche. Elle est lié pourtant tu le sais, qui t'ouvre les bras. Mais pour toi c'est ton tombeau. Ahmad courait, aussi vite que ses jambes de dix ans pouvaient le porter. Depuis que l'autonomie avait été accordée à son peuple à Gaza, le monde des enfants avait basculé. Il était né avec les accords de paix le petit Ahmad, et pourtant il n'avait connu que le bruit des balles et des bombes.
PRESENTATION DE L'OUVRAGE : UN MUR DE CERTITUDE
par Raphael Aouate
Le cri strident que personne n’entend
IN AROUTS7
Penser les mots pour panser les maux.
Michel, Clara et leur fils Nathanaël possèdent une parcelle de nature, si tant est que cela puisse être possible. Cette famille possède également le destin si souvent promis au peuple juif : apporter la vie là où elle se faisait rare, en l’occurrence, au milieu de nulle part ou presque, c'est-à-dire dans ce Goush Katif perdu.
Le monde perdu, que décrit Richard Sitbon, c’est un univers qui s’écroule, à l’image des pierres sacrées de ces maisons détruites, de ces synagogues brûlées dans ce qui fut un petit coin de paradis, non loin de l’enfer de Gaza.
Le monde perdu de ces expulsés n’est pas ce monde perdu des espagnols chassés de Castille ou de Cordoue pendant l’Inquisition. Ce monde perdu n’est pas celui des ces juifs européens quittant la civilisation pour la barbarie nazie. Ce monde perdu, c’est juste celui de milliers d’hommes et de femmes assez fous pour avoir voulu habiter, nourri, épanoui une terre sainte et si proche, une terre promise depuis 2000 ans qu’enfin ils obtiendraient, qu’enfin ils chériraient, qu’enfin ils pleureraient.
Des juifs chassés de leur terre, au 21 ème siècle. Cela aurait été, dans les pires cauchemars, le programme d’un mauvais film de science fiction. Non, voyons, pas en 2005, pas sur notre terre ! Et bien si, Israël est le pays des miracles et Israël est le pays de l’improbable comme de l’impensable. Ce qui dépasse l’imagination est possible. Les frontières du possible, en même temps que les frontières physiques peuvent être repoussées.
Ce récit d’une évacuation, vécue à travers une famille d’origine francophone, sera présenté au prochain Salon du Livre de Paris, à l’heure ou la haine anti sioniste ou antisémite, on ne sait plus, se déchaîne. A l’heure ou des citoyens israéliens sont menacés sur leur propre territoire par des ennemis habitant ce même territoire. A l’heure où le monde arabe, dans sa grande majorité, refuse aussi le droit d’Israël à écrire et à faire de la littérature, lui le peuple du Livre. A l’heure donc ou des menaces de boycott de ce Salon du Livre fusent. "Nous n’accueillons pas Israël mais la littérature israélienne", affirmait l’un des organisateurs, comme pour se justifier.
En attendant, mêmes les mots nous sont refusés. Est-ce là le destin insondable et si troublant du Peuple juif ?
Ils ont des yeux et ne voient pas, des oreilles et n’entendent pas …". Et si le Psaume parlait de nous, tout simplement ?