MANIFESTATION ANTISEMITE INTERDITE
Manifestation antisionniste interdite samedi à Paris -
AFP
Une manifestation, qui devait être organisée samedi sur le parvis du Trocadéro à Paris par l’association religieuse Zahra pour protester contre le "sionisme", a été interdite vendredi soir par la préfecture de police (PP) pour risque de troubles à l’ordre public, a-t-on appris auprès de la PP.
L’interdiction a également été motivée par le fait que la PP a été dans l’impossibilité de joindre l’organisateur selon la source.
Baptisée "journée mondiale de Jérusalem" pour dénoncer le "mal du sionisme", selon le site internet du centre Zahra, cette manifestation qui devait se dérouler de 15H00 à 19H00 sur le parvis du Trocadéro devait réunir plusieurs membres de groupuscules.
Parmi eux le Mouvement des Damnés de l’impéralisme de Stello Capochichi, fondateur de la Tribu Ka, groupuscule noir ultra-radical et antisémite dissous en 2006, devait être présent.
Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) assure avoir reçu depuis "près de trois semaines un grand nombre d’appels de citoyens à la fois choqués et inquiets par l’annonce de cette manifestation qui mêle politique et religion".
AFP
Une manifestation, qui devait être organisée samedi sur le parvis du Trocadéro à Paris par l’association religieuse Zahra pour protester contre le "sionisme", a été interdite vendredi soir par la préfecture de police (PP) pour risque de troubles à l’ordre public, a-t-on appris auprès de la PP.
L’interdiction a également été motivée par le fait que la PP a été dans l’impossibilité de joindre l’organisateur selon la source.
Baptisée "journée mondiale de Jérusalem" pour dénoncer le "mal du sionisme", selon le site internet du centre Zahra, cette manifestation qui devait se dérouler de 15H00 à 19H00 sur le parvis du Trocadéro devait réunir plusieurs membres de groupuscules.
Parmi eux le Mouvement des Damnés de l’impéralisme de Stello Capochichi, fondateur de la Tribu Ka, groupuscule noir ultra-radical et antisémite dissous en 2006, devait être présent.
Le Bureau national de vigilance contre l’antisémitisme (BNVCA) assure avoir reçu depuis "près de trois semaines un grand nombre d’appels de citoyens à la fois choqués et inquiets par l’annonce de cette manifestation qui mêle politique et religion".