France : les banquiers de plus en plus favorables à la lapidation des femmes adultères.
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Le titre du billet est intentionnellement provocateur. Mais l’heure est grave, un vent mauvais de “chariaphilie” souffle sur le monde de la finance, et le présentateur d’Arte ne semble rien y trouver à redire (voir vidéo si-dessous).
Vidéo signalée par Nina
La France se met à l’heure de la finance conforme à la charia ! Ainsi bientôt un CAC 40 islamique verra-il le jour ! Quel enrichissement ! A quand la charia généralisée à tous les secteurs du pays entier ?
Proposer des produits conformes à la loi islamique est probablement une des facettes les plus sournoises du processus d’islamisation, en ce que, semblant inoffensive, elle banalise dangereusement le processus. Après tout, se dit-on, c’est la loi de l’offre et de la demande.
Ce qui est exact. A ceci près qu’il ne s’agit pas ici de n’importe quelle offre, mais d’une offre basée sur un système de lois iniques et un choix de société totalitaire qui s’inscrivent en totale contradiction avec les valeurs et le système qui sont les nôtres. Imaginerait-on proposer des produits conformes aux préceptes de Mein Kampf ?
L’islam, je le rappelle, c’est cette religion qui - entre autres horreurs - considère la femme comme ne valant que la moitié de l’homme, et permet de la frapper lorsque l’on craint sa désobéissance ; qui appelle au meurtre des homosexuels ; qui offre aux chrétiens et aux juifs trois alternatives : la conversion, la mort, ou la possibilité de garder leur foi dans le cadre d’une citoyenneté de seconde zone (la dhimma), et ce contre le paiement d’une taxe ; qui offre aux athées et polythéistes le choix entre la conversion ou la mort ; qui appelle au meurtre des apostats ; qui promeut entre autres châtiments l’amputation, l’énucléation et la lapidation ; qui exhorte les musulmans à l’extermination des Juifs au jour du jugement dernier. C’est cela, la loi islamique, la loi de la finance islamique.
Faire entrer la charia dans la finance, c’est - qu’on le veuille ou non - légitimer tout cela. C’est ignoble, révoltant et méprisable. Prostituer Marianne contre une poignée de pétrodollars, c’est commettre un crime contre notre pays, son peuple et ses valeurs, et plus largement encore, les droits de l’homme. L’humanité n’a pas davantage besoin des règles de la charia pour moraliser le monde des affaires qu’elle n’avait besoin des leçons d’Adolf Hitler en matière d’hygiène alimentaire. Prétendre le contraire, c’est faire un sophisme bien dangereux.
Honte à ces financiers sans âme ni morale qui légitiment la lapidation des femmes adultères contre quelques pétrodollars. Honte aux veules politiques qui les y encouragent. Honte à tous ceux-là qui piétinent les droits de l’humanité contre quelque profit immédiat.
Pour paraphraser Besancenot, nos libertés valent plus que leurs pétrodollars.
bivouac id